Voilà l'introduction:

Introduction
Dans un monde dont personne n’en connaissait l’existence, deux clans se formèrent. L’un se nomma Olw, l’autre Day. Les Olwiens et les Dayens ne se faisaient jamais la guerre, mais ils étaient ennemis depuis des siècles. Les deux pays avaient décidé de créer trois règles à respecter, sous peine de mort :
•Interdit de dépasser la frontière menant d’un clan à un autre
•Interdit de se marier ou d’avoir des enfants avec des humains d’un autre clan
•Interdit d’agresser un humain d’un autre clan
Mais un jour, ces règles seront enfreintes… mais peut-être pour des causes qui valent la peine ?

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La dernière phrase est surement à modifier. Si vous avez des choses à dire pour modifier, j'accepterais avec plaisir!

Bon voilà, je remets tout depuis le début:

Introduction
Dans un monde dont personne n’en connaissait l’existence, deux clans se formèrent. L’un se nomma Olw, l’autre Day. Les Olwiens et les Dayens ne se faisaient jamais la guerre, mais ils étaient ennemis depuis des siècles. Les deux pays avaient décidé de créer trois règles à respecter, sous peine de mort :
•Interdit de dépasser la frontière menant d’un clan à un autre
•Interdit de se marier ou d’avoir des enfants avec des humains d’un autre clan
•Interdit de s’adresser à un humain d’un autre clan
Mais un jour, ces règles seront enfreintes… mais peut-être pour des causes qui vaudront la peine ?

Chapitre I
Salika et Colate, des humains du clan appelé Day, étaient mariés depuis maintenant une année. Ils avaient mis naissance à un petit garçon peu après leur mariage et ils avaient décidé de le nommer Thar. Maintenant âgé de presque un an, celui-ci commençait à vouloir découvrir le monde qui l’entourait. Ce jour-là, son père l’emmena dans les grands prés situés près de leur ferme. Pendant ce temps, sa femme était allée voir un peu plus loin. Elle aimait beaucoup se rendre près de la frontière, mais, évidemment, ne la dépassait jamais. Cette fois-ci, Salika aperçut un homme qui était à côté de la ligne indépassable, mais dans les terres du clan des Olwiens, alors qu’elle était dans celles des Dayens. La jeune femme ne parla pas à l’Olwien, comme obligeait les règles, alors elle resta sur place.
- Enfin, murmura-t-il, surement pour lui-même
L’homme regarda Salika pendant un moment, puis lança à son l’attention :
- Je vous attendez.
- Pour… pourquoi ? demanda-t-elle, confuse.
Elle regretta aussitôt d’avoir parlé à cet homme. Ils venaient tout les deux de détruire une des règles importantes que les pays ennemies avaient créées. Jamais en des siècles, elles n’avaient étaient enfreintes, mais maintenant que c’était le cas, qu’allait-il arriver ?

Chapitre II
- Rejoignez-moi demain à cet endroit, dit l’Olwien.
- Nous avons…, bafouilla la pauvre femme
- C’est pour une bonne cause, ne vous inquiétez pas.
- Ne pas m’inquiéter ? s’exclama da Dayenne. Nous allons être bannis !
- Non. Maintenant écoutez-moi.
Le calme de cet homme calmait peu à peu Salika.
- J’ai trouvé une solution pour que la terreur que nous vivons finisse, commença-t-il.
- Quelle terreur ? demanda l’autre, étonnée.
- Certains Olwiens et Dayens vivent dans la misère seulement car les deux pays sont ennemis. Mais vous, vous vivez avec votre famille tranquillement, écartés de toutes vérités.
- Je… je ne savais pas…,
- Je sais. Je pense être le seul humain qui le sait mais qui ne le vit pas.
- On ne c’est pas présenté, remarqua la jeune femme. Comme on a enfreint une des règles, pourquoi s’arrêter là ?
- Je m’appelle Osio.
- Moi Salika. Pouvez-vous me dire la solution que vous avez trouvé ?
Osio semblait satisfait que la Dayenne ait repris son aplomb. Maintenant qu’elle savait que beaucoup d’humains vivaient dans la misère, elle voulait à tout prix aider pour que cela cesse.

Bon, voilà mon introduction de nouvelle histoire qui au fond n'a pas vraiment de gros rapport avec la vrai vie, mais bon.




Introduction





C’était il y a longtemps. Dans un
endroit où le soleil était haut dans le ciel. Où le sable était si fin qu’il
était impossible à voir. Où le clapotement de l’eau était insupportable.


A chaque visite, j’étais habillée d’une
simple tunique rouge et blanche. J’étais nus pieds, me sentant ainsi plus
libre. J’attachais mes cheveux blonds en tresses. Je me rappelle des mèches
rebelles qui retombaient sans arrêt devant mes yeux aussi bleus que l’océan.


Cet endroit, je l’appelais Infernum meum,
ce qui signifiait «Mon autre monde» en latin.


Je me souviens des longues heures
que j’avais passées à Infernum meum.
Je m’asseyais en tailleurs puis je faisais disparaître tous mes soucis. Je
regardais les vagues se déposer sur la plage sans jamais m’inquiéter que
l’une d’elles pourrait m’emmener au fond de la mer. J’étais partie autre
part, dans un monde dont seule moi avais la clé pour y entrer.


Mais l’inévitable s’était produit. Une
énorme vague m’avait entraînée avec elle dans les profondeurs de l’eau. J’étais
décédée, alors que j’étais en transe. Alors que j’étais insouciante des dangers.


۞


Comme beaucoup d’humains, je me
demandais ce qu’il y avait après la mort. Et bien je l’ai su. On atterrissait
soudainement quelque part. Un grand vortex doré se dressait devant nous. Il
fallait simplement le traverser pour arriver au Paradis.


J’avais fait un pas pour y entrer,
mais j’avais été intercepté par une femme.


Elle était parfaite. Ses cheveux noirs
comme nuit étaient éclatants, longs, bouclés. Ils étaient retenus en chignon par
un ruban blanc. Ses yeux n’avaient pas de couleur. Ils étaient transparents
mais magnifique. Elle était habillée d’une longue robe bleue et simple. Elle
avait des souliers blancs, qui n’étaient pas abîmés.

[corrigé par Aimée♥]

Bon, voilà l'introduction modifiée:




Introduction

C’était il y a longtemps. Dans un endroit où le soleil était haut dans le ciel. Où le sable était si fin qu’il était impossible à voir. Où le clapotement de l’eau était insupportable. A chaque visite, j’étais habillée d’une simple tunique rouge et blanche. J’étais nus pieds, me sentant ainsi plus libre. J’attachais mes cheveux blonds en tresses. Je me rappelle encore des mèches rebelles qui retombaient sans arrêt devant mes yeux aussi bleus que l’océan. Cet endroit, je l’appelais Infernum meum, ce qui signifiait «Mon autre monde» en latin. Je me souviens des longues heures que j’avais passées à Infernum meum. Je m’asseyais en tailleur puis je faisais disparaître tous mes soucis. Je regardais les vagues se déposer sur la plage sans jamais m’inquiéter que l’une d’elles pourrait m’emmener au fond de la mer. J’étais partie autre part, dans un monde dont seule moi avais la clé pour y entrer.

Mais l’inévitable s’était produit. Une énorme vague m’avait entraînée avec elle dans les profondeurs de l’eau. J’étais décédée, alors que j’étais en transe. Alors que j’étais insouciante des dangers.



۞

Je ne savais pas ce qu’il y avait après la mort. On m’avait raconté tant de chose, comme le vide, le bonheur, la réincarnation… Pourtant ce qui se trouvait devant mes yeux étonnés était un grand vortex doré. Je le regardais pendant quelques minutes, qui me semblèrent être des siècles. Finalement, peut-être que j’avais passé des siècles à le regarder, alors que si je serai encore sur Terre ça n’aurait été que des minutes sans importance. Puis une femme est arrivée. Une jeune femme parfaite. Sa peau mate n’avait aucun défaut. Ses cheveux noirs comme nuit étaient éclatants, longs, bouclés. Ils étaient retenus en chignon par un ruban blanc qui brillait de milles feux. Ses yeux n’avaient pas de couleur. Ils étaient transparents mais magnifiques et hypnotiseurs. Elle était habillée d’une longue robe bleue et simple. Elle avait des souliers blancs, qui n’étaient pas abîmés.

Elle m’avait fait un signe de la main. L’étrangère s’était retournée et était partie, persuadée que je la suivrai. Sa démarche était gracieuse et légère. Toujours sans comprendre quoi que ce soit, je l’avais rattrapée. Elle m’avait emmené dans une cellule. Cette dernière était vide et silencieuse. Il y avait juste un lit en plumes qui n’avait pas l’air confortable, une table à moitié cassée, une chaise rouillée et un vieux livre poussiéreux.



۞


Puis je m’étais endormie, pour que finalement, le présent revienne…

Chapitre 1

[corrigé par Aimée♥]